(je n'emploierais pas le mot alternative), je ne reviendrais donc pas dessus.
Nous allons donc maintenant essayer d'analyser dans les mots utilisés dans la tradition juive pour essayer de comprendre comment est définit la maladie, les maux et la guérison dans la tradition juive.
Pour cela voici très brièvement quelques notions de base.
Nous devons travailler essentiellement sur 3 plans correspondant aux niveaux de l'Ame humaine qui en compte 5 situés dans 4 Mondes inter-connectés en permanence (Assiah (action), Yetsira (forme-formation), Briya (création-pensée), Atsilout (emanation).

Ensuite, nous trouvons sur une énergie de vibration un peu plus haute, c'est "Rouah", l’Âme Sensitive qui gère nos émotions au niveau du cœur sur un plan Astral et Mental.
Et enfin, "La Nechama" que nous qualifierons comme L’Âme Divine qui contrairement à ceux que l'on pense ne peut en aucuns cas être affectée par nos mauvaises décisions car nous désirons expérimenter.
A ce niveau, il n'y a plus de dualité, il n'y a plus de choix bon ou de mauvais choix que nous puissions faire car nous choisissons de faire cette expérience et nous en sortirons parfois les conséquences (c'est la loi de l'Harmonie), mais nous en sortant grandit si nous acceptons réellement notre choix. Je situerais celle-ci sur le plan causal.
Nous dirons enfin sans encore entrer dans le détail que Dieu, l’état vibratoire, la Lumière, l'énergie Universelle... alimente continuellement la création à tous les niveaux de l’Âme par des émanations de la Source de Tout appelés les sephirot ou chackras suivant les traditions, ce sont des sortes de vortex qui diffusent et filtres les hautes vibrations qui nous serais insupportable .
Suivant différents canaux d’énergies représentées par les 22 lettres ou méridiens dont l'acupuncture. Vous comprendrais ainsi que si l'on empêche la diffusion de l’énergie par nos canaux ou récipients, il en résulte un déséquilibre.
(à noter: la torah parle de 613 commandements; 248 positives correspondant aux membres et organes du corps et 365 négatives muscles, tendons, ligament et nerfs du corps)
Voilà, âpres ces brèves notions que je vous conseille d'approfondir, nous allons essayer de clarifier l'origines des maladies qui se dissimulent dans nos racines les plus profondes.
Il est important d'atteindre le mal à sa source avant qu'elle n'entame sa croissance, tous les recherches modernes s'accordent à dire que la plupart des maladies sont des accélérations d’état latent dans les soubassement de notre système vitale d'ou la paix de l’Âme.
Les racines de nos afflictions résident dans : nos pensées , nos gestes, nos parole, notre conscient, notre inconscient, nos ancêtres et notre descendant.
Nous ne sommes étrangers à aucun de nos maux.
Si une partie de nous même feint de l'ignorer la raison de notre trouble , une autre plus profonde le sait parfaitement et l'exprime allusivement parfois par le corps.
Une émotion donc du passé dont nous n'avons pas bien intégré, non résolu, non en harmonie avec notre être du Présent, nous enverra un émissaire avec des messages allusifs que nous ressentiront dans notre chair.( la médecine exerce seul donnera des calmants,antibiotique, ablation de la partie malade,...)
Plus de Message, Plus de Danger!
Dans la langue hebraique la maladie מחלה dont la racine est מחל vient du verbe "pardonner" (base de la médecine holistique Hoponono) et "renoncer" abdiquer, laisser un vide.
Le Malade se dit également חולה qui vient de חלל vide, profane, ainsi être malade c'est Etre vide "vide de sainteté" de lumière, d'énergie.
La maladie est due à l’abandon d'une partie de soi-même, que l'on habite plus en conscience or la nature à horreur du vide règle bien connu , ceci mène à un déséquilibre du système.
La principale racine hébraique permettant de designer le verbe guérir est רפא (rafa comme rofé, docteur, refouah, guérison) . Or la permutation des lettre de de rafa fait apparaître פאר, per qui signifie "resplendir", la beauté éclatante résultante de l'équilibre et l'harmonie.
L'ange Raphaël, "je veux guerir"
Cette fonction est assumé dans l'arbre séphirotique par la 6° séphirah Tiphéret, beauté représenté également par la lettre "ו" qui se trouve dans l'axe central de l'arbre de vie qui représente aussi l'Amour.
On pourra également remarquer, si on décompose le mot פ אר, que le פ est l'ouverture de la bouche, tandis que les 2 suivantes sont les lettres du mot "Lumière" (énergie, onde, vibration).
Il est fascinant de constater que la façon dont les maladies nous touchent répond à une logique où le propre et le figuré se rejoignent - pour prendre un exemple simple, atteignant les mêmes organes que l’étouffement soit entendu chimiquement ou psychologiquement. L’origine de cette intelligence symbolique du corps est à chercher dans la manière dont nos organes se sont construits, à partir de trois tissus, lorsque nous étions embryon. Cette lecture de notre biologie profonde et de ses déséquilibres est d’une richesse impressionnante ; comme si notre corps détenait en fait toute l’information nécessaire à notre guérison et que celle-ci se révélait à nous en fonction de notre aptitude plus ou moins grande à l’entendre.
Nos sociétés cultivent, pour la plupart, une conception matérielle et cartésienne du corps. Elle n’est pas fausse : notre corps possède un niveau mécanique de fonctionnement, avec ses organes, ses articulations, sa pompe, etc, et notre médecine a acquis ses lettres de noblesse dans ce domaine, en développant notamment des outils techniques aux performance admirables.
Mais le corps et ses maladies ne fonctionnent pas seulement à ce niveau. L’importance du facteur psychologique, par exemple, est aujourd’hui bien documentée. Parler d’un lien entre la maladie et un vécu psychologique, ou une difficulté dans la vie, est à peu près admis par notre médecine. Mais l’abord de l’homme dans sa globalité est une idée connue… qui doit sans cesse être redécouverte !
La vie nous parle de nombreuses manières par des symptômes, par des symboles. Avec une merveilleuse subtilité, dès le départ, elle nous fait repasser par tous les stades de l’évolution des espèces pendant notre gestation. De l’œuf fécondé jusqu’au nouveau-né, nous revisitons en quelque sorte toute la création. Bien sûr, nos chromosomes, déjà humains donc différents, nous poussent à aller plus loin, mais on voit bien que nous sommes issus d’un tronc commun, partageant 26 % de nos chromosomes avec les simples filaires (parasites longs) et 90 % avec l 'animal
l’ADN, c’est Adonaï , le Seigneur au niveau de la nature en hébreu, bien qu'il possede bien d'autres noms.
C’est une vision mystique qui correspond bien, symboliquement, à une réalité : l’humain est celui qui prend son patrimoine génétique - et qui vient sur Terre pour le travailler et le réaliser, avec son humanité.
Et il se retrouve en quelque sorte “sous une tunique de peau de lumière ”, c’est-à-dire caché à lui-même, ne voyant pas ce qu’il est.
En dernier, je vous citerais un exemple concret, par exemple un problème de foie, Les problèmes de foie sont très souvent liés à la famille, mais il faut une lecture symbolique un peu plus approfondie pour comprendre pourquoi. Le foie est un organe extrêmement important, plus encore que le rein, il intervient dans pratiquement tous les métabolismes. Il constitue notre usine énergétique, nous permet de gérer notre vie matérielle et quotidienne. Il représente donc notre “économie”, ce qui implique forcément la famille, mais aussi la maison, l’argent, la nourriture, la façon dont nous survivons pratiquement. Voilà le cadre général. Pour illustrer comment ce cadre fonctionne pour chacun, j’emploie souvent cette image : les maladies, c’est « paroles et musique ». La musique est la même pour tous - par exemple, le foie est l’organe de notre économie - mais les paroles diffèrent pour chacun, selon son histoire et son bagage génétique.
L’économie elle-même peut souffrir de mille maux différents : problèmes d’approvisionnement, mauvaise gestion, direction déficiente, distribution anarchique… Et puis la famille ne signifie pas la même chose si vous avez 2 ans ou 40 ! Quand on aborde le symbolisme sous cet angle, on permet de faire apparaître à la conscience, au niveau où elle peut le recevoir, les systèmes de croyances et les différents types de difficultés rencontrées. Car au fond, comment le vécu s’inscrit-il symboliquement dans le corps ? L’être humain est dans une double dimension. À la naissance, quelque chose nous dit que l’enfant « sait », de façon innée, ce qu’est l’amour. Par ailleurs, son corps lui offre toutes les fonctions fondamentales pour assurer sa vie. Entre ces deux pôles - sa connaissance de l’amour et sa survie animale -, il va créer des ponts.
Or, il semble que ce niveau, la conscience, soit le véritable chef d’orchestre de notre fonctionnement. Entre le bio-ordinateur et la conscience se trouve une part « non écrite », où l’être humain pose ses choix de vie, sa liberté d’être qui lui est si spécifique. Ce sont les trois niveaux de la vie en nous : l’animal (bio-ordinateur prédéterminé), l’ange (conscience) et entre les deux, jetant des passerelles (sublimes et parfois désespérées), l’humain (page blanche sans déterminisme). Il s’agit aussi de trouver le mouvement, en moi-même, qui est en difficulté : qu’est-ce qu’il faut travailler, faire évoluer, changer - ou ne pas changer ?
Jung : "Vous ne guérirez pas de vos maladies, ce sont vos maladies qui vous guériront.”
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire